Musique et cinéma ont toujours fait bon ménage. Images et sons sont inséparables, chacun s’entraide pour une emphase admirable. Cette bande son imaginaire puise dans l’histoire du cinéma contemporain et remonte le temps sur une platine. C’est une chronique riche et variée, pleine de destins croisés et parallèles. Parfois musique et film sont indissociables mais seule est restée l’image : Steppenwolf dans Easy Rider, Mash et le célèbre Suicide is painless sont de ceux là. A d’autres occasions au contraire, c’est le film qui a puisé dans l’imaginaire d’un morceau déjà fameux pour s’affirmer et se renforcer. Le mariage fut souvent une réussite totale : Pixies dans Fight Club ou encore Death In Vegas pour Lost In Translation. Au final une bien belle ballade, un voyage musical où les images ne sont jamais très loin. |