par Jean-Marie Bellouard (17/11/11)

Après la version originelle brute et méchante, la version garage sous amphète, voici la version dégoulinante de sexe à la Jim Morrison: ce n’est plus seulement une invitation sous-jacente au sexe, cette chanson c’est carrément une invitation au stupre et à la perversion. Le summer of love est passé par là : les version précédentes parlaient de désir, celle-ci parle crûment d’accomplissement des fantasmes. C’est pas forcément subtil mais ça a le mérite d’être efficace, et aussi une des plus connues des version de « Gloria ». Si j’avais dû choisir une chanson des Doors pour une rock story ? Dur… Mais j’aurais choisi « Love me two times » (http://www.youtube.com/watch?v=RbMS0BzOMV0&feature=related). Quoi, ça parle encore de cul ? Hey, on parle de chansons de Jim Morrison, là ! Quoi de plus normal que de parler de cul pour cette réincarnation moderne de Dyonisos ?