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Montevideo
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Producteur
: Non disponible |
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Chronique
i-muzzik.net ( Internaute
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Venu de Belgique pour mettre le feu à notre discothèque, pour faire imploser notre intérieur cosy, Montevideo nous livre un premier disque homonyme jalonné sur toute sa longueur de fulgurantes bombes électro-rock, déjantées et fortement additives (« Drunk for the last time » feat Ghinzu). Dévastateurs, « Montevideo » est un disque incroyable et magnétique, à tel point que l’on croirait entendre la compilation des meilleurs titres électro-rock de cette rentrée automnale. Boostées, dopées, les machines font échos aux instruments torturés pour que ne demeure qu’un impressionnant magma énergétique et énergisant. « Montevideo » est un disque généreux qui balaie tout ce qu’on aime. Capable même de croiser The cure et Cake sur les rythmes de The rapture (« I’m a troublemaker »), Montevideo ne se met aucune limite, aucun tabou. Les frontières sont faites pour être franchies et clandestinement si possible. Après Deus, Venus, Ghinzu ou quelques autres (la liste serait trop longue), la Belgique continue ses recyclages en tout genre, ses filtrages pour ne conserver que le meilleur des inventions et de les transformer en disques implacables et parfaits. Montevideo est, par son art du recyclage ravageur et jamais putassier, bien un groupe Belge. |
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| Extrait de l'album |
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Chroniques
des Internautes |
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Harry-D. Chabert : Venu de Belgique pour mettre le feu à notre discothèque, pour faire imploser notre intérieur cosy, Montevideo nous livre un premier disque homonyme jalonné sur toute sa longueur de fulgurantes bombes électro-rock, déjantées et fortement additives (« Drunk for the last time » feat Ghinzu). Dévastateurs, « Montevideo » est un disque incroyable et magnétique, à tel point que l’on croirait entendre la compilation des meilleurs titres électro-rock de cette rentrée automnale. Boostées, dopées, les machines font échos aux instruments torturés pour que ne demeure qu’un impressionnant magma énergétique et énergisant. « Montevideo » est un disque généreux qui balaie tout ce qu’on aime. Capable même de croiser The cure et Cake sur les rythmes de The rapture (« I’m a troublemaker »), Montevideo ne se met aucune limite, aucun tabou. Les frontières sont faites pour être franchies et clandestinement si possible. Après Deus, Venus, Ghinzu ou quelques autres (la liste serait trop longue), la Belgique continue ses recyclages en tout genre, ses filtrages pour ne conserver que le meilleur des inventions et de les transformer en disques implacables et parfaits. Montevideo est, par son art du recyclage ravageur et jamais putassier, bien un groupe Belge. |
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