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31/05 - Destroyer sur le devant de la scène.

Destroyer revient le 28 août avec un nouvel album, Poison Season, suivi d’une tournéee mondiale. Un 12’’ 2 titres accompagnera le sortie de ce nouvel album. il inclut un remix de “Forces From Above” ainsi que l’orchestral “Times Square, Poison Season”, morceau qui a donné naissance à plusieurs titres de l’album. “Le premier et le dernier morceau sont en vérité une seule et même chanson enregistrée en live avec un quintet” explique Bejar. “J’ai même chanté en même temps que le groupe. Cette chanson a toujours oscillé entre quelque chose de très austere et un ‘street-rock’ à la Springsteen ou Bowie du milieu des années 70. Au final j’ai décidé que je voulais inclure les deux . J’avais du mal à placer la version orchestrale au sein du disque, donc j’ai décidé de la caler en ouverture et en conclusion de l’album, de part et d’autre de la version rock, qui se trouve pile au milieu du disque’. Danny Bejar a souvent été attiré par le changement mais a toujours maintenu une esthétique cohérente. Ses albums ne se ressemblent pas mais ils ont toujours cette unicité propre à Destroyer. Cette dernière incarnation semble s’inspirer de la mouvance pop sophistiquées britannique (et surtout écossaise) des années 80. On retrouve des echos d’Aztec Camera, Prefab Sprout, Orange Juice ou encore The Blow Monkeys.Les chansons qui jalonnent ce nouvel album allient verve littéraire, melodies intenses, et une certaine tristesse typiquement ‘blue-eyed soul’. Ecoutez le son ici.

 

24/05 - Ecoutez Joy Wellboy

Contrairement aux apparences Joy Wellboy est un groupe. Enfin un duo. Il est composé de JoyAdegoke et de Wim Janssens qui sortent leur second album sur le très fréquentable label Bpitch Control.
Un duo dont on ne sait finalement pas grand chose mais dont le disque est des plus rafraîchissant. Leur électro-pop à la fois rêveuse et mutine répond bien à certains lieux communs d'une pop moderne qui ne cherche pas la sophistication à tous prix. Ce qui compte c'est bien cette fraîcheur, cette naïveté mélodique qui est plus ou moins enrichie par quelques effets électronique finissant d'habiller l'ensemble plus que convenablement. Joy Wellboy touche juste, fort simplement et sans donner le sentiment de vouloir s'imposer outre mesure. C'est savoureux, ça fond en bouche comme la meilleure des friandises. Certes, on reste sur un territoire qui n'est pas vierge ou qui viendrait d'être découvert par le duo mais on reste facilement sous le charme de ce disque sans prétention. Parfois, il vaut mieux un album comme celui-ci plutôt qu'un autre qui se prend trop au sérieux et qui n'a pas les capacités d'être au niveau de ses ambitions. Joy Wellboy a une ambition plus réaliste et humble. Ce deuxième album est délectable dans le sens où il enchaîne les pop-songs limpides, candides et facilement assimilables. De fait, ce disque est pour le moins imparable et constitué de morceaux solides mais qui ne sont pas non plus dans l'exceptionnel. Il n'en demeure pas moins que Wedding s'écoute d'une traite et qu'on ne peut décemment pas lui trouver de défauts majeurs. C'est tout de même appréciable quand un disque se montre homogène et qu'il ne provoque aucune irritation à cause de titres dont on ne saurait expliquer la présence. Pas question donc de cela avec Joy Wellboy et on les remercie chaudement. Ecoutez des extraits ici.

 

24/05 - Découvrez le quatuor Man is not a Bird

Composé de quatre musiciens parisiens, MAN IS NOT A BIRD mélange des influences shoegaze, post rock et stoner-drone créant ainsi une sonorité délicieusement unique ! N'hésitez plus à jeter une oreille avertie à leur album "Survived The Great Flood". Ecoutez le son ici.

 

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