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Almost cured of sadness
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Producteur
: Non disponible |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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Pour son retour dans l’univers personnel et minimal des premiers enregistrements de Baby bird, Stephen Jones tente la réutilisation de ses propres recettes mises a point, à l’époque, dans un chaos spirituel. Pourtant, même si son savoir faire demeure bien présent, la sauce ne monte guère ou du moins elle manque un peu de goût. Stephen Jones joue encore sur l’étrange mais oublie le merveilleux. Stephen Jones joue encore sur la bizarrerie mais oublie le ludique. Et sa touche funky n’y change rien. Pas que « Almost cured of sadness » ne soit véritablement un mauvais disque (c’est même un disque valable), c’est tout simplement qu’il nous imprègne d’une certaine déception, d’une tristesse comme pour la mort d’un petit oiseau sous nos yeux, un oiseau devenu adulte qui cherche à redevenir enfant mais qui ne parvient plus à voler. Après bon nombre d’albums, on attendait autre chose d’un de nos héros de la décennie passée. Peut-être la prochaine fois. |
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Extrait de l'album |
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