Recherche

 
 
Lontalius - I'll forget 17
 
Tiefschwarz - Chocolate
 
Pegase - Another World
 
Sonic youth - Simon Werner a Disparu
 
Blockhead - The Music Scene
 

Stomp : Rhythms of the world

 
 

 

Bring’em in
 

Fiche technique

Groupe : Mando diao

Producteur : Non disponible

Distribution : Mute

Année : 2003

Genre : Rock'n'roll

Autres albums : Hurricane bar |  

 

Chronique i-muzzik.net ( Harry )

 

Avec son titre à la Clash, son énergie à la Hives et son panel réduit, « Bring’em in » s’inscrit dans un rock’n’roll joué vite, plutôt mélodique, qui se tourne fortement vers les décennies précédentes et très à la mode ces derniers mois, se joue sur un terrain archi connu et mille fois cultivés. Dans le genre on a connu meilleur. On a aussi connu bien pire. En fait Mando diao est un groupe moyen qui sort un disque moyen meublé de chansons plus ou moins moyennes. Certaines sont totalement poussives (« To china with love », « Little boy Jr »), d’autres bien plus séduisantes (« Motown blood ») sans atteindre non plus les sommets du genre. « Bring’em in » est un disque irrégulier, souvent mal fini, un disque qui s’emploie à mettre en avant des morceaux et des mélodies pas vraiment à la hauteur. Et si nous sommes certains qu’il n’y a pas grand chose d’extraordinaire à garder et à espérer de Mando diao, il peut nous faire plaisir le temps d’un bref laps de temps. Le temps d’un concert peut-être ? En tout cas plus que le temps d’un album en entier.

 
Extrait de l'album
 
 

Chroniques des Internautes

 

Harry-D. Chabert : Groupe de l’année dont l’album ultra-cool vient après une longue attente pour confirmer ce que nous présentions par avance c'est-à-dire que Reverend and the makers sera le groupe de son moment. Comme Klaxons et les Arctic monkeys (dont ils sont très proches) ces derniers mois. Comme eux aussi, Reverend and the makers ne sera pas qu’un feu de paille trop beau pour être honnête. « The state of things » touche suffisamment à l’excellence instantanée du rock pour cela. Sa pop-rock très électro-clash faite sur le gabarit fluo-kids tout en étant autre chose (« The machine ») et à la fois dansante, entreprenante, énergique, dense et sombre. Elle est tout ce qu’on aime. On pense parfois à un mélange entre des Rapture s’accouplant avec Franz Ferdinand, à un Radio 4 régulier dans sa meilleure forme (« He said he loved me ») qui offrirait ses rythmes tendus aux Arctic monkeys, et ce n’est pas peu dire. Avec leur basse en béton (« 18-30 »), leurs machines souvent tranchantes (« Armchair detective »), ces hymnes adolescents ne trahissent jamais nos espoirs (« Miss Brown »). Et même quand le pouls devient moins flashy, qu’il s’assagit comme pour prendre le temps de souffler, le niveau de « The state of things » ne s’en ressent nullement (« Bandits »). Alors, chef d’œuvre de jeunesse ou pas ? L’histoire le dira mais ne boudons surtout pas l’immense plaisir que « The state of things » nous procure.

 

Envoyer vos chroniques

Vous connaissez cet album ou vous venez de le découvrir ? Faites nous part de votre chronique ... Les chroniques les plus pertinentes seront publiées sur i-muzzik. Merci de votre participation.Envoyer votre chronique à Harry à l'adresse suivante : harry@i-muzzik.net en n'oubliant pas de préciser votre pseudo et le nom de l'album que vous avez chroniqué. Merci.

 

Attention : Toutes les chroniques i-muzzik.net présentes sur ce site sont la propriété exclusive de i-muzzik.net ainsi que de leurs auteurs respectifs. Toute utilisation en dehors de ce site doit faire l'objet d'un accord préalable.