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La tournée des grands espaces
 

Fiche technique

Groupe : Alain Bashung

Producteur : Non disponible

Distribution : Barclay

Année : 2004

Genre : Live

Autres albums : Fantaisie militaire | Climax | L’imprudence | Les hauts de Bashung | Bleu Pétrole |  

 

Chronique i-muzzik.net ( Harry )

 

Bashung est un grand, Bashung est un immense chanteur, un possédé, un type avec une vision, quelqu’un d’unique sur nos terres et capable d’accoucher sur disque d’une œuvre à la fois belle, profonde et complexe. Ces deux derniers albums sont là, toujours présents dans nos têtes, inconstestés, pour le prouver. Bashung est aussi une teigne, fausse petite frappe repentie, un rocker un peu vain comme dirait mon grand-père avec ses phrases un peu vaines aussi. Bashung est un type qui porte des blousons de cuir noir, des lunettes de soleil et parfois de santiags à bout pointus. Un type qui chantait « Oh Gaby » en nous faisant croire que le rock’n’roll avait ses origines en bordure de Rhin (au lieu de Mississippi). Sur scène Bachung est un mélange des deux, la classe et les tripes, la beauté et le risque, le fantasme et les ratés. Parfois trop alambiqué, ce mélange des genres est trop flagrant sur « La tournée des grands espaces » d’où notre réticence à applaudir ce live des deux mains. En revanche lorsqu’on entend les premières notes de « La nuit je mens » et de quelques autres, on succombera encore (et encore) sans résistance sous le charme-buttoir du Bashung hautain et grandiose de ces dernières années. Pour ceux, avides de bonus, qui en veulent toujours plus, sachez que « La tournée des grands espaces » sort aussi en DVD agrémenté de clips et d’une interview.

 
Extrait de l'album
 
 

Chroniques des Internautes

 

Mathieu Simard : La Tournée des grands espaces est, à première vue, un bon album. Les textes magnifiques de L'imprudence, le dernier album studio de Bashung, sont moins dévalorisés car le style électro est moins lourd. Hélas, il est présent sur les bon vieux rocks, qui ne sont pas si nombreux que cela, et qui, par conséquent sont massacrés. On regrette la fougue de Confessions publiques, le live précédent (1995). A quand un retour à la vraie bonne musique ?

 

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